• <o:p> </o:p>

    Tu me manques,

    Le soleil se lève, au crépuscule de la nuit

    Et des images volubiles subsistent à celle-ci

    Dansent, s’évanouissent, renaissent et me hante

    <o:p> </o:p>

    Tu me hantes,

    La chaleur de ta présence s’en fuit avec le temps

    Mais sa nécessité ne s’est laissée portée par le vent

    Chaque seconde devient alors une infinie attente

    <o:p> </o:p>

    Du plus clair instant au plus sombre moment,

    Le plus vif éclat de la vie semble bien morne sans ta lumière

    Celle qui vient effleuré le monde pour l’embellir de la plus belle des manières.

    Celle-ci qui m’aveugle et m’ouvre les yeux sur l’émerveillant

    <o:p> </o:p>

    Du plus bas au sommet de sa course,

    Le soleil n’a de cesse d’assombrir mon cœur et d’alourdir mon âme

    Par tout  il repend l’ombre et là où ton souvenir se pavane

    Là avec plus d’ardeur encore il la proclame

    <o:p> </o:p>

    L’insoutenable addiction à ton charme.

    <o:p> </o:p>


    votre commentaire
  • Balayant tout sur son passage arrive l’exaltation<o:p></o:p>

    Celle née dans ton regard et exprimé par le mien <o:p></o:p>

    Ainsi que les lacs reflètent le divin dessin des cieux<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Monte en mon âme ce céleste chant dont seul les anges ont le secret<o:p></o:p>

    Celui qui construisit la volonté dont je suis le gardien <o:p></o:p>

    Et que je chérie en en mon sein, celui dont les volubiles effets<o:p></o:p>

    Sonnent et résonnent en moi faisant vibrer chacune des fibres de mon corps à la vue du tien <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Il croit, s’étend et porte haut l’ardeur que tu sais insuffler à mon cœur, <o:p></o:p>

    La ferveur de ce sentiment qui ne serait me faire oublier la douceur dont tu m’emplie les bras<o:p></o:p>

    Phénix malgré moi je renais à chacun de tes soupirs et m’effondre à chaque battement de cœur que je ne te prête pas.<o:p></o:p>

    Ce chant qui vole haut et fais savoir à qui veut bien l’entendre que rien qui n’est de toi  n’est plus beau <o:p></o:p>

    En ce monde, ne m’est plus nécessaire et ce jusqu’a la dernière heure.<o:p></o:p>


    votre commentaire
  •   Emporter aux quatre vents, ballotté par la tempête d’une passion <o:p></o:p>

    De la passion, celle qui pour un soupir nous ferais mourir<o:p></o:p>

    Celle qui nous dit oublions ce qui a été et finissons <o:p></o:p>

    Finissons en avec ce qui pourrai advenir<o:p></o:p>

    Vivons sans trêve ni repos cet instant présent <o:p></o:p>

    Cueillons la fleur du plaisir tant que celle-ci n’est pas fanée<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Le dictacte de nos sentiments ne serait nous induire en erreur <o:p></o:p>

    Vivons à fleur de peaux, laissons  vivres nos écorches <o:p></o:p>

    Et exaltons cette douce pulsion qui nous à aimer <o:p></o:p>

    Prenons possession de ce monde qui avec toi a révélé son immense splendeur<o:p></o:p>


    votre commentaire



    Suivre le flux RSS des articles
    Suivre le flux RSS des commentaires